FABRICE |
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F ermant les yeux la nuit tu embaumes mes rêves A u petit jour encore ton image persiste B randissant le soleil comme un désir qui lève R ayonnant de lumière à quoi rien ne résiste I dylle de l’idole et quand monte la sève C urieuse de sentir à portée cet émoi E ntre mes lèvres douces je l’aspire jusqu’en moi
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