DELPHINE
D ans l'ivresse du vin quand me grisent tes yeux
E ntre soif et désir limite et limitrophe
L 'éclat de ton visage comme un temps doux soyeux
P assé à te rêver, l'amour en apostrophe
H anté par ta jeunesse comme un printemps céleste
I l me vient des élans de tendresse endigués
N ourris par ta beauté et qui la nuit délestent
E t soulagent le spleen de mon coeur fatigué