CORALINE
C e regard facétieux cette bouche insolente
O fferts comme un cliché à mon inspiration
R espirent la beauté sereine et nonchalante
A lors de te connaître, j’aspire avec passion
L e modèle je devine est encore plus sublime
I mpatient que je suis de pouvoir l’encenser
N ‘est il pas plus prudent de s’en tenir aux rimes
E t de ne pas flamber d’un espoir insensé ?