CAPRICE |
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C ontant fleurette j’aurais un jour escompté A vec le désespoir d’un marin en déroute P rendre l’île de ton corps que nul ne sait dompter R isquant dans l’ouragan de me noyer en route I l n’est rien de très noir dans mon dessein sans doute C ’est bien plus grand, plus beau, plus long à raconter E t plus facile à vivre en d’amoureuses joutes…. !
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