ALBERTINE |
A
u secours de tes yeux l'esquisse d'un sourire
L
e temps de dévoiler
un peu de toi pourtant
B
ien avant que les mots ne me fassent atterrir
E
t que le jeu ne soit sublime et déroutant
R
ien n'est plus suspendu que cet
instant magique
T
oujours recommencé
du désir éphémère I rradiant nos esprits de pulsions illogiques
N
ourrissant nos espoirs d'incroyables chimères E t faisant oublier de l'amour le tragique
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